De nouveaux marchés pour les pays africains, des nouvelles opportunitées d´affaires pour les pays du tiers monde. Les entreprises suedoises sont á la recherche des investisseurs et hommes d´ affaires des pays africains en vue de signer des accords de partenariat et participer á l´envol de leur économie.
D´une superficie de 30.415.873 km2, en incluant les îles, l´Afrique est le second continent le plus étendu. Il comprend 49 pays en incluant Madagascar, et 54, en incluant tous les archipels.
Longtemps considéré comme un continent appauvri par, non seulement la traite négriere (commerce d´esclaves dont ont été victimes, par millions, des populations de l´Afrique subsaharienne de 1441 á 1750), par la colonisation (qui selon Walter Rodney et Samir Amin, ” fut l´une des sources du développement capitaliste européen et de la déchéance économique de l´Afrique”), et surtout par le néocolonialisme (entendu ici comme une politique impérialiste propre aux anciennes puissances coloniales vis-á-vis de leurs anciennes colonies, décrivant les méthodes d´influences occultes au profit des pays développés et de leurs grandes entreprises.), l´Afrique se caractérise par son instabilité, sa non alternance des gouvernements avec pour la plupart des régimes dictateurs, et pour finir , par sa pauvreté (physique et mentale)dévastatrice des populations.
L´Afrique, continent regorgeant des matieres premieres et autres denrhées alimentaires
Ceci dit, faudrait pas du tout se leurer: le décolage économiques des pays africains devrait passer par, premierement, l´exploitation de leurs matieres premieres (matieres extraites de la nature) et denrées alimentaires (ressources naturelles destinées á l´alimentation) ; segundo par l´incitations des bailleurs de fonds et autres investisseurs des pays occidentaux a y entretenir des rapports commerciaux avec les entreprises et/ou individus, et tertio par des accords de partenariat avec les investisseurs et bailleurs de fonds des pays occidentaux.
Ces derniers devraient voir l´Afrique, non pas comme ”le continent instable”, mais plutot comme ”un continent riche en potentialité”. Les Africains par contre, devraient se rendre á l´évidence et essayer de ”transformer les désastres en opportunités”, en variant les partenaires, en allant aux assauts de nouveaux marchés, et en suscitant un peu plus de curiosité au sein des économies des pays du nord.
Si nous prenons l´exemple de la Suede, qui est aux assauts des Economies africaines, recherchant des nouveaux marchés, nous pourrons affirmer sans risque de se tromper que l´avenir des pays pays africains n´est pas si sombre. Bon nombre de multinationales ouvrent des filiales en Afrique, exemple de l´entreprise Exportrådet qui a ouvert en l´espace d´une année cinq filiales en Afrique (Angola, Nigéria, Kenya, Botswana, Namibia).
Carl Hermelin (sécrétaire commercial d Exportrådet de la filiale sud-africaine), pense que ”c´est maintenant qu´il faut investir en Afrique”. Dans un Article presse publié le 08/04/2008 dans DN.se EKONOMI, Monsieur Hermelin va plus loin en disant, qu”il ne faut pas attendre, il sera trop tard”.
En Suede, les individus se regroupent, créent des Forums de sensibilisation (exemple de Handelskammaren)et organisent des réunions d´information afin d´inciter les dirigents d´entreprise et autres hommes d´affaires á se tourner vers l´Afrique.